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 l'amour, cette bataille. (hugo - hot)

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MessageSujet: l'amour, cette bataille. (hugo - hot)   l'amour, cette bataille. (hugo - hot) EmptyMer 27 Jan - 23:15


hugo ft. matthieu


,, l'amour, cette bataille qui ravage les coeurs

Du coin de l’œil, il le regarde. Il le contemple, le dévisage, promène ses yeux partout sur son corps qui lui semble si caché. Il est à quelques mètres, en face de lui, une simple table qui les sépare. ses yeux semblent enflammés par un désir profond qui ronge depuis plusieurs minutes qui paraissaient une éternité. Il avait invité Hugo à passer sa soirée et sa nuit avec lui. Car il ne voulait pas se retrouver seul en cette soirée d'hiver, qu'il voulait se retrouver accompagné, que ce soit de la présence d'Hugo, ce dernier détail, il le niait. Piètre cuisinier, il n'avait cependant pas prévu de faire la cuisine, pensant qu'il proposerait sûrement à Hugo d'appeler le livreur de pizza plus tard dans la soirée. Là, depuis une vingtaine de minutes, ils étaient attablés, un bol de cacahuètes et des verres d'alcool les accompagnant autour de banalités échangés. Ils s'étaient vus en classe aujourd'hui mais comme à son habitude, Matthieu savait adopter un comportement en adéquation avec le lieu dans lequel il se trouvait. Et à l'Institut, Hugo restait l'un de ses élèves, un comme un autre, peut-être avec des coups d’œil en plus, une fixette qui prenait le dessus mais qu'il arrivait à contrôler, tournant de l’œil ailleurs.

Des banalités. C'est ce qu'ils s'échangeaient, les traditionnelles salutations dont tout le monde se fichait au fond. Mais Matthieu s'était perdu dans son regard, mangeant maladroitement quelques cacahuètes qu'il saisissait au passage. Doux et agréable. Ce moment était calme et il aimait cela, le professeur. Même si en ce moment même, il ne songeait qu'à la personne en face de lui, qu'à cet étudiant qui était tellement beau qu'il le laissait rêveur et séduit. Finissant d'une traite le fond de son verre, il se leva soudainement, allant rejoindre le jeune étudiant. Il ne pouvait s'empêcher, ni même se retenir, probablement guidé par ses pulsions et son envie d'être auprès de lui. N'attendant guère son accord, il vient plaquer ses lèvres contre les siennes, les dévorant, comme lorsqu'il avait dévoré son visage avec ses yeux. L'instant d'après, il s'arrêta, un grand sourire sur son visage, s'exclamant « J'ai vraiment tenté de me retenir mais c'est trop dur. » Sa main descendit le long de l'avant-bras de son amant, descendant pour se longer contre la sienne et la caressant doucereusement jusqu'à la saisir et l'embarquer avec elle. Il colla alors son corps contre le sien, ne s'occupant que ce de visage, de cette bouche qui le tentait et il l'embrassa de nouveau, ses mains descendant jusqu'à la taille de son invité. « Ces vêtements sont beaucoup trop encombrants. dit-il avec un bref sourire séducteur, enchainant sur un ton faussement innocent. J'espère que tu ne m'imagines pas nu dans mes cours. » Bien sûr qu'il espérait, bien sûr qu'il aimerait qu'Hugo, que son Hugo pense comme les autres filles, comme la multitude de filles qui parcouraient sa classe à songer à lui, à parler de lui, à le qualifier de bellâtre. Car si leurs propos le rendaient indifférents, ceux d'Hugo ne l'étaient pas. Continuant à lui sourire grandement, il joua de ses mains, plongeant sous le tee-shirt du jeune étudiant, caressant lentement la parcelle de peau qu'elles touchaient, jusqu'à ce qu'elles s'élèvent, incitant le tee-shirt à suivre et à s'extirper de son hôte. Accompagnant ses gestes, il lâchait un bref « Je te veux. » soufflé à l'oreille, toujours avec ce petit sourire qui se voulait séducteur, presque amoureux mais définitivement passionné, impatient de toucher à cette drogue qui le rendait heureux et puissant.
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MessageSujet: Re: l'amour, cette bataille. (hugo - hot)   l'amour, cette bataille. (hugo - hot) EmptyJeu 28 Jan - 13:47


hugo ft. matthieu


Tu sens ton cœur battre à un rythme ardent, tu sens ce sentiment d’allégresse s’irradier en toi à chaque respiration saccadée, alors que ton regard brillant de mille feux ne peut se détacher de Matthieu. Ce brasier qui brûle en toi s’est ravivé lorsqu’il t’a proposé de lui tenir compagnie. Jusqu’à l’aube. Tu avais fait de ton mieux pour accepter d’un air totalement détaché sa proposition, mais tu savais qu’au fond, tu t’y étais pris d’une telle façon qu’il avait décelé, sous la maladresse de tes mots et de ton attitude, l’excitation et l’exultation qui s’étaient emparées de toi. Tu avais dit oui, bien entendu, c’était ce à quoi tu t’attendais, chaque jour, en le croisant au détour d’un couloir de l’institut, ou en regardant ton portable, attendant qu’il s’agite pour te signaler un message de Matthieu, attendant de lire ou d’entendre les quelques mots qui t’emballent aussitôt et qui remplissent chaque pore de ta peau d’une euphorie crépitante. Rejoins-moi ce soir. Viens à la maison. Passe la nuit avec moi. Autant de mots qui t’embrasent et qui te laissent guilleret. Lorsque vos regards se croisent, tu te demandes s’il peut lire dans tes pensées. S’il s’imagine à quel point tu as envie de lui, à quel point tu attends de te perdre dans ses bras, de te plonger dans son cou, de t’enivrer de son parfum. Tu essaies de rester le plus stoïque possible, posant ton verre sur tes lèvres et laissant quelques gouttes d’alcool s’écouler dans ta gorge et laisser une sensation de brûlure derrière elles. Tu le regardes des coins des yeux, faisant glisser ton verre sur ta bouche entrouverte. Tu as envie de balancer cette table sur le côté et de te jeter sur lui, et tu sens dans son regard pétillant la même envie. Il ne t’avait pas fait venir pour discuter autour d’un verre d’alcool, ni pour regarder un film sur son canapé. Tu sais pourquoi il t’a fait venir, tu sais ce dont il a envie. Et ce désir te dévore également.

Tu ne peux pas mettre de mots sur ce que tu ressens lorsqu’il plonge son regard dans le sien. C’est comme si un silence plaisant vous entoure subitement, comme si plus rien ne compte que ce moment bref mais intense. Tu souris sous l’effet de ses yeux qui t’observent et tu sens des vagues de frissons te submerger. Matthieu pose son verre, soudainement, après l’avoir vidé en quelques gorgées. Tu le regardes faire le tour et tu ne le lâches pas du regard, l’excitation montant en toi, un sourire exalté sur ses lèvres, sur lesquelles il finit par poser les siennes. Ton cœur explose alors et tu expires de désir, tout en lui rendant son baiser avec autant de fougue. « J’ai bien vu que t’avais envie de me sauter dessus », souffles-tu, la main derrière sa nuque, le regardant pendant quelques secondes de plus près, ton nez touchant le sien, avant de te laisser emporter dans un nouveau baiser langoureux. Tu sens son corps sur le tien. Ta main sur sa nuque glisse jusqu’à ses hanches, où ton autre main s’est déjà accrochée à lui, et tu le tires vers toi. Son bassin est collé au tien et l’excitation t’irradie davantage en sentant une certaine rigidité sous son jeans. Tu détaches tes lèvres des siennes et l’écoute se plaindre de tes vêtements. Tu souries encore et encore. Il sait ce qu’il lui reste à faire. « Tu t’imagines que tu es ma seule distraction en cours ?, souffles-tu avec malice. Non, il y a Antoine, Rémy, et Julien aussi, au troisième rang ... », tu continues, espérant voir un brin de jalousie dans ses yeux. Bien sûr que tu le déshabilles du regard, bien sûr que tu rejoues vos moments d’intimité dans ta tête. Bien sûr qu'il est le seul. Tu sens les mains froides de Matthieu glisser sur ton torse et tu le laisses ôter ton shirt, laissant à sa merci ta peau légèrement hâlée. Il souffle quelques mots dans tes oreilles et tu souris, satisfait. Tu poses les mains sur ses fesses et le pousse à nouveau vers toi, posant tes lèvres sur son cou, remontant lentement vers son oreille. Tu as tout autant envie de lui que lui de toi, et tu le lui fais comprendre en mordillant le lobe de son oreille, en le pressant davantage contre toi. Tes mains glissent autour de sa taille et s’activent à défaire sa ceinture, avant de déboutonner les premiers boutons de son jeans. Tes mains frôlent furtivement son boxer rebondi et tu souris en regardant sa réaction, avant de mettre toute ta fougue dans un nouveau baiser que tu lui offres, posant tes mains sur chaque côté de son visage pour t'appliquer. Vos langues se touchent et tu es parcouru par d’incessantes radiations qui t’embrasent. Tu imites ton partenaire et le force à se séparer de son tshirt, reculant de quelques pas. Tu restes là à le contempler, avant de te plonger à nouveau dans son regard. « Prends-moi, alors » souffles-tu en te rapprochant vers lui, te courbant légèrement pour embrasser son torse, remontant vers son cou, puis enfin posant tes lèvres sur les siennes, te collant à nouveau à lui, encore plus vigoureusement. Prends-moi, maintenant, demain, prends-moi pour toujours.
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MessageSujet: Re: l'amour, cette bataille. (hugo - hot)   l'amour, cette bataille. (hugo - hot) EmptyVen 29 Jan - 14:18

J’ai bien vu que t’avais envie de me sauter dessus. Le professeur se demandait maintenant si cela était si flagrant, si on pouvait parvenir à voir cette flamme incandescente au creux des yeux, manifestant un désir fort et puissant, incontrôlable et destructrice qui apparaissait lorsqu'elle ressentait la présence d'une personne qui serait si facile à brûler. Mais en voyant Hugo, c'est ce qu'il ressentait. Ce profond désir d'être auprès de lui, de caresser et de dominer, de prendre ce qu'il avait à offrir. C'étaient ses pulsions qui se manifestaient, qui dictaient sa conduite, devant lui-même un vulgaire pantin. Il n'était qu'humain, non divinité et sans grand force, il devait se soumettre à ce qui le dominait. Et là, il avait envie de Hugo, il avait envie d'être avec lui. Écoutant son étudiant parler, le professeur grinça des dents, roulant légèrement des yeux, probablement assez jaloux de la remarque que venait de faire le jeune homme, ce à quoi il répliqua un sec « Je préfère plutôt que tu sois attentif à mon cours à l'avenir, à mes paroles plutôt que tu scrutes des gugus insolents. » Il savait de qui le jeune Lestang parlait, et même s'il n'avait rien contre ses trois autres élèves, il subsistait une pointe de jalousie qu'il essayait de cacher, le niant, préférant le mettre sous le compte de l'inattention en cours. Mais ils n'étaient pas en couple, ils ne l'avaient jamais été, pas officiellement et ils en avaient en réalité jamais parlés. Parce que tout cela avait peut-être aucun sens, qu'ils n'avaient aucun futur même s'ils étaient bien là, tous les deux. Et Matthieu, il se sentait bien avec Hugo. Un bonheur interdit, dont il n'avait pas le droit d'avoir. Or, présentement, il y avait accès, il avait le droit, c'était comme ce petit gamin qui prenait une chaise pour monter dessus et fouiner dans le placard pour y dégoter un paquet de biscuits alors qu'il était interdit de manger entre les repas. L'excitation était comparable et là, il allait saisir de ce paquet de biscuits interdit. Le journaliste contemplait son amant, maintenant torse nu car il l'avait incité à l'être. Son corps le faisait rêver, semblable à un jeune éphèbe légèrement svelte. Les mains de son amant se glissent sur ses fesses, tandis que sa bouche s'empare de son cou, s'attaquant et le dévorant tel un vampire en besoin d'assouvir son désir de passion.

Il apprécie ses gestes guidés, son circuit, il y prend et saisit tout le plaisir, fermant légèrement les yeux, se collant à lui, sentant peu à peu son jean se desserrer et se libérer, laissant s'engouffrer une main aventureuse qui frotta son sous-vêtement avec curiosité. Les sens sont grisés, et sensible, Matthieu répond avec vigueur au baiser, mêlant sa langue à celle de son partenaire avec envie. C'est à son tour de se dévêtir, et sans gêne, il aide son étudiant dans son entreprise, retirant son propre tee-shirt et apparaissant à son tour torse nu. Il avait ce don de l'exciter, il suffisait d'un geste ou encore d'une parole et Hugo pouvait embraser Matthieu dans tout son être. Il accueille sa déclaration avec un grand sourire et un léger hochement de la tête, comptant bien répondre au moindre souhait que désirait son étudiant. Ses baisers le rendent fou mais Matthieu se contient, où du moins, il essaie, il résiste, il sait que parfois, il peut s'emporter, dépasser ses actes et s'enflammer. Enchainant les baisers langoureux, le professeur décide de se débarrasser entièrement de son pantalon. De force, il enroule Hugo de ses bras, ne lâchant pas ses lèvres délicieuses pour l'embarquer lentement jusqu'à sa chambre. En chemin, il en profitait pour déboutonner le pantalon de son jeune amant et lui ôter afin d'être dans une certaine égalité. Ce n'est qu'arrivé dans sa chambre que Matthieu bouscule Hugo sur son lit avec envie, le rejoignant bien vite, retrouvant ses lèvres dont il ne pouvait se détacher de quelques minutes. Positionné sur son amant, Matthieu le dévore de ses yeux, mouvant ses lèvres pour les plonger dans son cou, tandis que ses mains caressaient ses hanches avec vigueur, tirant quelque peu sur le boxer du jeune homme pour le descendre peu. Il ne s'attarde pas sur son torse qu'il ne connait que trop bien mais descend jusqu'à son entrejambe, commençant à le contempler, l'embrasser et l'entretenir.
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MessageSujet: Re: l'amour, cette bataille. (hugo - hot)   l'amour, cette bataille. (hugo - hot) EmptyLun 1 Fév - 19:29

Tu sens ses bras autour de toi, des bras qui te compriment, qui te collent à lui dans une étreinte enivrante. Tu le suis, emprisonné contre lui, et l'excitation atteint un nouveau niveau lorsqu'il déboutonne ton pantalon, dont tu te débarrasses et que tu laisses derrière toi. Il te mène jusqu'à sa chambre, où il s'empresse de te pousser sur le lit. Tu le regardes, les yeux brillants, le corps brûlant. Tes yeux se posent sur ses lèvres que tu veux retrouver, sur son torse parfaitement dessiné, sur ce sous-vêtement gonflé que tu veux déchirer. Un sourire malicieux se dessine alors qu'il se rapproche de toi et que tu te sens trembler d'excitation. Tu te joins à nouveau à lui dans un nouveau baiser. Ta bouche se lie à nouveau à la sienne et tu l'embrasses avec un plaisir que tu ne peux nier, mordillant sa lèvre inférieure à l'improviste, l'emprisonnant entre les tiennes, fermant les yeux pour savourer ce moment. Savoir qu'il est tout à toi, et ce jusqu'aux premières lueurs du jour, te rend léger, euphorique, te donne envie de ne pas lui laisser un moment de répit, bien décidé à profiter de chaque seconde entre ses bras. Vos regards se croisent alors que vos lèvres se quittent, et tu sens encore davantage ce pincement agréable au cœur. Cette emprise qu'il a sur toi t'effraie autant qu'il te rend heureux. Tu sais que tu joues avec le feu, mais tu te brûles consciemment. Il se perd dans ton cou alors que tu sens ses mains te libérer peu à peu de ton boxer. Les tiennes ne peuvent pas quitter sa peau, caressant son dos et le creux de ses reins, avant de perdre prise et de le regarder se diriger plus bas vers le fruit défendu. Tu lâches un long soupire de satisfaction, laissant ta tête tomber contre le matelas. Tu perds petit à petit le contrôle de ton corps que tu offres totalement à Matthieu. Ces instants avec lui sont toujours précieux et pour rien au monde tu ne voulais les perdre. Encore moins les partager, bien que tu sais pertinemment que tu n'as pas le privilège d'être le seul homme dans sa vie. Du moins, tu le penses. Tu ne veux pas t'en persuader. C'est comme cette menace tapie dans l'obscurité, cette vérité que tu ne pourras accepter si un jour elle venait à se présenter à toi. Tu rouvres les yeux, t'interdisant de penser dans des moments pareils et tu lèves la tête pour regarder Matthieu, occupée à te donner des vertiges. Tu soupires à nouveau de plaisir et tu sens ton corps frisonner alors que ton cœur frémit sous ton torse. Tu peux sentir ses battements anarchiques, ta respiration trépidante, ces râles presque inaudibles de jouissance qui s'échappe de ta gorge. Tu plonges les mains dans ses cheveux, le pressant délicatement vers le bas, accompagnant ses mouvements. Tu glisses alors tes mains sur ses joues alors que tu te redresses, tirant doucement son visage pour le mener jusqu'au tien. Tu l'embrasses avec ardeur, entourant sa taille de ta jambe, pivotant pour te retrouver sur lui, ses fesses reposant sur son bas ventre. Tu te penches pour l'embrasser à nouveau avec impétuosité, essayant de lui transmettre tout le désir que tu ressens pour lui, essayant de lui faire comprendre à quelle point tes sens exaltent d'être mêlé à lui dans cette étreinte érotique. Tu dénoues ta langue à la sienne et te redresse. Tu plonges ton regard dans le sien et pose une main sur sa joue, l'autre sur son torse contracté, et tu restes ainsi quelques secondes, imprimant cette image dans ton esprit. Il est d'une beauté poétique, ses traits symétriques te font fondre et tu te sens dériver dans ces yeux éclatant. Tu souries, plongeant ton visage dans son cou, effleurant sa peau de tes lèvres qui cheminent lentement, subtilement, jusqu'au creux de ses reins qui tu embrasses, tes mains occupés à caresser ses pectoraux. Tes mains glissent le long de son corps alors que tu te diriges plus bas, tes doigts agrippant l'élastique de son sous-vêtement. Tu tires sur l'ultime barrière de tissu, bien décidé à révéler son sexe tendu dont tu emprisonnes la base dans ta main, avant de l'entourer de tes lèvres.

« T'as pas idée de l'effet que tu me fais, » souffles-tu plusieurs minutes après en reprenant le chemin de son visage, te glissant contre lui, puis posant une main délicate sur sa joue, plongeant finalement tes lèvres dans son cou.
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MessageSujet: Re: l'amour, cette bataille. (hugo - hot)   l'amour, cette bataille. (hugo - hot) EmptyMer 17 Fév - 14:54

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